mardi 13 décembre 2011

PedagoGeek



Un petit post pour te prévenir que tu peux désormais me retrouver sur PedagoGeek.
Et comme je suis sympa, voilà le lien de mon première article mon poulet :
Tower of Heaven

Je lache pas pour autant Sauce Ketchup Mayo, faut pas pousser mémé dans les orties !

lundi 28 novembre 2011

« Y’a pas que Minecraft dans la vie » #1




Pour cette première chronique consacrée aux jeux indépendants (cf la description de wiki), j’ai décidé de vous présenter un jeu de zombie qui répond au doux nom de Project Zomboid.
Bon, de prime abord, c’est vrai que le nom ne fait pas envie, et puis je t’entends en train de rechigner derrière ton écran : « encore un FPS de zombie, vas-y moi je joue au mode Zombie de Call of ça suffit ! ». Mais non, faux j’ai envie de te dire, tu as tout faux. Assieds-toi tranquillement et lis bien ces quelques lignes.

Project Zomboid (PZ pour les intimes) se présente comme un jeu de survie en vue 3D isométrique avec un style graphique rétro, un peu pixélisé très sympathique. Un jeu sandbox, où la seule fin possible sera la mort et le seul but, survivre le plus longtemps possible. Il est développé par l’équipe TheIndieStone.

Il y a 2 modes disponibles pour l’instant : Le mode Sandbox, et le mode scénario qui ne comprends pour l’instant que le turoriel.
Dans tous les cas, le but est unique : la survie. Pour cela tu vas devoir choisir (pour le mode sandbox) un personnage type (policer, ouvrier, pompier, etc…). Chacun des archétypes possèdent des avantages ou spécificités. Le pompier fera plus de dégâts à la hache, tandis que le policer maniera mieux les armes à feu. Ensuite, tu choisis dans une liste des défauts, qui te permettent de choisir des qualités. Disons que tu choisis de manger beaucoup plus que la normal, mais qu’en contrepartie tu te déplaces très discrètement. Il y a toute sorte de combinaisons possibles.
Après avoir choisi très sommairement ton physique, te voilà balancé au hasard dans la ville (qui n’est pas générée aléatoirement).

J'ai du faire un peut trop de bruit...


Une fois dans la ville, il te faut l’explorer afin de trouver des armes pour te défendre, un lit dans une planque sécurisée pour te reposer, trouver des médicaments ou encore de la nourriture si tu ne veux pas crever de faim ! Tu auras la possibilité de faire cuire tes aliments pour récupérer plus de santé, ou encore barricader portes et fenêtres pour bloquer l’arrivée des zombies.

Il y a un petit plus qui nous vient directement de Minecraft, la possibilité de crafter les objets, comme des draps en bandages ou transformer la batte de baseball en batte à clous afin de taper plus fort. Un aspect très agréable, qui pour l’instant n’est pas énormément développé, très peu d’objets sont craftables, mais les mises à jour vont régler ça.
Parfois tu pourras croiser des PNJ, qui pourront être agressifs, donc attention à ne pas te faire tuer bêtement par un de tes congénères.

Au niveau des zombies, ils sont tous identiques et assez lents, un peu à la Romero. Seuls, ils ne seront pas trop dangereux mais évite de faire trop de bruit, au risque de te retrouver submergé par une vague de zombies affamés, et à ce moment-là, je ne donne pas cher de ta peau.

PZ n’en est qu’à son début, mais un début très prometteur qui laisse présager le meilleur. Les prochaines mises à jour ajouteront différentes choses comme la possibilité d’interagir avec les PNJ, un mode multi-joueurs, des armes en plus, etc…

Un bain de sang, comme on les aime.


A l’instar de Minecraft, c’est un jeu qui compte sur les joueurs pour se développer. Et oui quand on achète le jeu, ce dernier n’est qu’en version Alpha. Alors oui, pour l’instant les possibilités ne sont pas énormes, mais patience, car les développeurs ont pleins d’idées et ce jeu promet de nombreuses heures de fun. Il existe également une version démo pour les plus frileux d’entre vous.
Le développement du jeu a été un peu ralenti, suite au vol des ordinateurs de l’équipe, mais il est bien reparti, et bientôt nous aurons droit à une mise à jour des plus sympathiques !

L’achat du jeu se fait via Desura contre la modique somme de 5,99€ (une sorte de Steam du jeu indépendant), petit hic, il est seulement disponible en anglais, mais des traductions trainent sur le net, notamment sur le site de la communauté française.

Pour des vidéos découvertes du jeu, précipite-toi .
Sinon pour acheter c’est ici. Fais un effort, tu lâches bien 70 balles dans un Call of.
Le site de la communauté française ici.

mardi 25 octobre 2011

Bon plan #3 / Street Style : Life Is Full of Choices

Tu veux savoir comment je fais pour toujours avoir un t-shirt plus classe que le tien ?
Allez, je suis sympa, je te dévoile mon secret !


myteespot  est un site qui regroupe un grand nombre de t-shirts allant des comics, en passant par les cartoons, le jeux vidéo, les films ou encore la musique.





Faut de tout pour faire un monde, tu devrais trouver ton bonheur.
Petit conseil, achète au moins 2 t-shirts pour que ça soit rentable.

Me remercie pas va, ça mange pas de pain.

mercredi 14 septembre 2011

Dossier L’émulation portable, ça claque.



Dans un précédent article, j’avais expliqué comment utiliser un émulateur. Cette fois-ci, je propose un petit tour d’horizon de ce qu’il se fait en émulation portable. Bah oui, y’a quoi de plus beau que de jouer à la Megadrive tout en étant installé sur le trône ?



SONY PSP

Voici l’exemple parfait d’une reconversion dans le domaine du rétro gaming. Armée du carte mémoire d’au moins 1Go ainsi que d’un firmware custom (une version modifié du système de la PSP) tu vas pouvoir tâter de l’émulation en veux-tu en voilà. La version PSP Go est également modifiable, ce qui en fait une console portable de prédilection pour l’émulation avec ses 16 Go de mémoire interne. Même si à la base, elle n’est pas faite pour ça, elle s’en sort très bien et permet une expérience de jeu riche, et une prise en main efficace.

 Points forts  
L’émulation PSX 
La possibilité d’émuler la quasi-totalité des consoles 16 bits et antérieurs 
Des émulateurs de bonne facture 
Une PSP d’occasion, c’est pas cher… et ça reste une PSP 
Une fois le firmware custom installé rien de plus simple pour équiper la PSP d’émulateurs…

Points faibles  
…mais une installation rebutera certaines personne
L’émulateur PSX ne permet pas de prendre la totalité de l’écran correctement (sois trop grand, sois plus petit, mais bon je chipote)
Il faut une bonne carte mémoire si on a envie de mettre plusieurs jeux PSX.


Dingoo A320



Dingoo A320, 330, 380

Ici il s’agit d’une console exclusivement réservé à l’émulation, pas d’installation nécessaire pour jouer, il suffit de glisser ses roms dans les dossiers correspondants et en route SIMONE ! Cette console en est déjà à sa troisième version, la dernière permet d’ailleurs de jouer avec 2 manettes sans fils et de brancher directement la console sur une télévision. Très pratique si t’as envie d’humilier ton pote sur Mario Kart devant ta meuf.


Points forts 
Carte mémoire 4 Go de base
Pas d’installation nécessaire
Bonne ergonomie générale, prix très abordable (entre 70 et 130 euros selon la version)
Possibilité de brancher sur la TV et de jouer avec 2 manettes sans fil
Une bonne communauté française

Points faibles
 L’émulation PSX pas bonne du tout 
Y’a des jeux prévu pour la console, mais bon c’est pas terrible… 
C’est quoi ce nom ?! (Oui, là aussi je chipote)                  


DINGO A330
DINGO A380
                            




GP2X WIZ


Cette console est sous open source, je m’étalerais pas trop sur cette dernière car je ne la connais pas trop, et puis il semble qu’elle soit en voie de disparition, écrasée par la Dingoo.

Points forts 
Bon design
Bonne ergonomie générale
Ecran tactile

Points faibles  
Une console morte ? 
Une qualité d’écran faible
Une communauté quasi-inexistante
Un peu cher tout de même pour une console morte




 OpenPandora


Pour finir ce petit comparatif,  je vous présente LA bête. Un mix entre mini-ordinateur et console portable, l’OpenPandora est également sous open source (t’as dû le deviner toi le geek qui fait tourner son PC sous Linux). Elle tourne sous une version de Linux, et permet l’émulation de nombreuses consoles 16 bits ou autre et également de jeux PC comme Quake. Elle est dotée d’un clavier et également d’un écran tactile. Une console à réserver aux bidouilleurs et geeks avertis.


Points forts 
Modifiable à souhait
Beaucoup d’émulateurs qui tournent très bien
On peut jouer à QUAKE
C’est sous Linux

Points faibles
Son prix (environ 300 euros)
Elle est en rupture de stock à l’heure actuelle
Faut la commander et être très patient
Un peu grosse
Pas utile pour un joueur qui recherche juste l’émulation
Un peu grosse

Les téléphones portables

Bah oui faut pas les oublier ! (Je ne parle pas de ton vieux 3310. N’est-ce pas ? Je vous vois là ceux qui se sont tués sur le Snake). Maintenant sur un grand nombre de mobile, il est possible de jouer via des portages de softs comme Mario ou encore Sonic disponible sur l’appStore, le Marketplace, l’Android Market, etc… (rayer la mention inutile). Parfois pour certains téléphones, il est même possible d’y mettre des émulateurs directement, après c’est plus mon affaire, à toi de te renseigner selon ton bolide.


On peut ainsi dire que 2 consoles sortent du lot : la PSP et la Dingoo. Après c’est toi qui vois ce qui te convient le mieux. Si t’as déjà la PSP, il ne sera peut-être pas nécessaire de dépenser des deniers dans une Dingoo, mais cette dernière offre une possibilité de jeu nomade et également sur ta TV qui n’est pas négligeable.

Voici tous les petits liens nécessaires à ton périple dans le monde de l’émulation portable, à toi de jouer mon copain !


Un petit tuto pour modifier tranquillement ta PSP ? C'est par ici

Ici et , tu trouveras la Dingoo qui te convient.
THE forum sur la Dingoo : http://dingoo-france.c.la/
Le site de l’OpenPandora, si t’es pas un frileux et que tu es patient, surtout ! : http://openpandora.org/
Et là tu trouveras des GP2X WIZ d’occaz’ : clique .


En bonus :
Une mini Megadrive portable bien cool et pas cher du tout. Et ouais, SEGA c’est plus fort que toi !



dimanche 11 septembre 2011

jeudi 8 septembre 2011

The Adventures of Alundra - PSX Action/Aventure




Sorti en octobre 1998 en France (ça ne nous rajeuni pas) et affublé d’un minable 11/20 sur jv.com, The adventures of Alundra est LE « zelda-like » de la PSX, un must-have. Un peu passé sous silence à l'époque, éclipsé par la sortie d'un certain Final Fantasy 7. 
Alors, si t'es un inconditionnel des RPG old-school  et de la jolie 2D, ce jeu est fait pour toi.

Tu es Alundra, un jeune héros qui a la capacité de pénétrer dans les rêves. Investi d’une mission, tu dois rejoindre un bled paumé pour protéger ses habitants de vilains monstres relous.
Graphiquement le jeu est une tuerie, le style de ce dernier se rapproche beaucoup du très bon Landstalker sorti sur Megadrive.
La maniabilité est simple et reste excellente, la prise en main rapide et intuitive.

En bref, si t’aimes incarner Link mais que tu en as marre de sauver la princesse Zelda et de péter des pots, Alundra est une parfaite alternative pour te faire (re)découvrir les jeux d’actions-aventure à la sauce 2D.

Enjoy my friend, enjoy.


 
Les plus

- Des graphismes 2D à l’ancienne
- Une très bonne maniabilité
- Un scénario simple mais efficace
- Alundra a des grosses chaussures

Les moins

- Un peu dur parfois
- Pourquoi le second opus est en 3D…
- …et pourquoi est-il aussi mauvais ?


 Note


mercredi 25 mai 2011

Dossier : Les Doom-like, ces FPS rétros…


Avant que nous tâtions aux Medal Of HonorBattlefield ou autres Call Of Duty sur nos consoles nouvelles générations et nos ordinateurs boostés aux hormones, on ne jouait pas aux FPS du moins on ne les appelait pas ainsi. A l’époque on jouait aux Doom-like en référence au premier jeu qui a vraiment marqué le genre : Doom.

Sorti sur PC en 1993 grâce à l’équipe d’id Software, Doom fut un franc succès. L’action se situe dans un monde futuriste, entre science fiction et horreur. Vous êtes un Marins envoyé sur Mars pour dézinguer  des créatures issus d’un bestiaire aussi impressionnant que flippant. Le décor est planté, à cette époque on joue moins pour le scénario que pour mitrailler à tout va les bébêtes qui viennent vous chercher des noises.

Laisser tirer, pour mieux dézinguer.
Un très rare moment de calme, très rare si si.
Ouh ! T'es pas beau toi !










Le jeu  sera adapté sur un grand nombre de consoles de salon de l’époque comme la Playstation ou la Saturn. Une suite intitulée Doom II : Hell on Earth ainsi qu’un certains nombres d’add-ons virent le jour jusqu’en 1997. Plus récemment en 2005, on a eu le droit à l’excellent Doom 3. Le prochain opus, intitulé Doom 4, est actuellement en développement pour notre plus grand plaisir.

Par la suite, plusieurs Doom-like virent le jour, j’ai donc décidé de vous présenter mon top 5 des FPS rétros sortis avant les années 2000.


5 - Exhumed

Sorti  en 1996 d’abord sur Saturn puis en 1997 sur PC et Playsation. L’action se déroule en Egypte où des extraterrestres ont débarqué pour foutre le bordel et vous devez régler ça à l’aide de gros guns et de magie. L’intérêt du jeu réside dans le fait d’évoluer dans un monde inspiré par l’Egypte ancienne. A préférer plutôt les versions consoles que PC à cause d’une maniabilité parfois défaillante.



4 - Heretic

Est un jeu développé par l’équipe d’ id Software, on pourrait le qualifier de FPS moyenâgeux. Il s’agit de la suite du très bon Hexen. Ici point de mitraillettes ou autre bazookas, c’est grâce à diverses armes magiques que vous devrez vaincre le démon D'Sparil. Ce jeu est une très bonne alternative à Doom vu qu’il se situe dans un univers d’Heroic Fantasy.


3 - Star Wars : Dark Force

Ce jeu est l’ancêtre de la série Jedi Knight. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un jeu dans l’univers de Star Wars où vous incarnez Kyle Katarn et devez déjouer les plans de l’Empire qui souhaite créer des super soldats, les Dark Troopers. C’est un bon jeu pour peu que l’on aime l’univers proposé auquel il reste fidèle. Pour ceux qui auraient vraiment du mal avec les graphismes, le 2 est une très bonne alternative, en plus on peut utiliser les sabres laser, classe…



2 - Quake

Après la sortie de ce jeu, on jouait soit à des Doom-like, ou alors des Quake-like, c’est pour dire l’impact que ce jeu a eu sur les mentalités. Après avoir inventé la téléportation, les humains se rendent compte que cela a ouvert des portes vers d’autres univers et laissé l’entrée libre à des gros monstres vilains. Le point fort  de ce jeu est qu’il propose différents modes multi-joueurs.


1 - Duke Nukem 3D

Pour finir, le grand, le magnifique Duke Nukem. Los Angeles est envahie par des extraterrestres et c’est à Duke de virer cette vermine de là. Différentes armes sont à votre disposition et on se rapproche ici d’un Doom mais sur Terre. Un très bon jeu auquel je vous conseille de vous essayer si ce n’est déjà fait. Pour l’anecdote, Duke Nukem Forever qui va sortir (normalement)  au mois de juin a mis plus de 14 ans à être produit.



Si vous voyez d’autres jeux que je n’ai pas cités et dont j’aurai dû faire mention selon vous, n’hésitez pas à m’en faire part.  

Bonus :

Strife est un Doom-like à tendance RPG. On pourrait le qualifier d’ancêtre de Morrowind. Votre personnage va évoluer au fur et à mesure de l’aventure, vous pourrez vous promenez librement dans une ville à l’aspect futuriste et médiéval, parler à des personnages non joueurs et effectuer des quêtes.


Et enfin, pour les possesseurs de Doom 3, voici un excellent mod qui vous permettra de revivre le premier opus s’il était sorti en 2005.